crox 458, februari 2014, Apocalypse maintenant & Champ.
crox 477, oktober-november 2014, Verf Na Van Eyck.
Een flinterdunne kabel cirkelt boven iedereen die zich in de corridor waagt, hoewel de kabel door vrijwel niemand opgemerkt wordt. Er is een zoevend geluid.
Een tekening verkeert in de onmogelijkheid om zich eenduidig als tekening te tonen. Er is een wriemeling. In die wriemeling is de tekening op geen enkel moment zichtbaar als de tekening die het is.
Een spat licht op. Voor dit werk filmde Fabrice een gazon met madeliefjes door een twee meter lange glazen buis.
Het vibrato van een cirkel.
Fabrice Pichat, Raccords rapides; Collection Adera 2007-2009. '( ) Pichat produit des dispositifs qui conduisent à questionner et parfois à dépasser une perception première (qu'il appelle "logique instinctive"). Une des méthodes principales employées par l'artiste pour parvenir à ce but consiste à mobiliser deux ou plusieurs sens et à provoquer des transferts d'attention de 'un vers l'autre faute de quoi l'oeuvre échappe. Avec Apocalypse maintenant, il faut par exemple lever la tête pour voir la source d'un son furtif qu'on avait entendu siffler au-dessus de soi avant cela. Plutôt qu'avec les synesthésies, Pichat joue donc des passages entre modes de perception.' (p. 16)
'L'art de Pichat n'est pas déceptif, encore moins éruptif, mais plutôt disruptif. Il ouvre et ferme des circuits de perception, requiert l'attention, vise à la contraindre voie à la capturer. Il demande du temps, plus que le spectateur d'art contemporain n'en accorde généralement aux oeuvres.' (p. 16)
'Des yeux. Des yeux neufs. Nombreux. Différents. Non-alignés. Pour les voir et les capturer, Pichat a hurlé dans des lieux publics, sur des quais de métro, en même temps qu'il photographiait la réaction qu'il déclenchait. Cela ressemble à l'effet provoqué sur des visages par un signal d'alarme. A cette différence prês, capitale on le verra, que l'alarme ici n'est pas entièrement crédible, que le cri de Pichat n'a qu'une performativité limitée, celle de l'étonnement ou de l'effroi passagers.' (p. 17)